Quelle joie de se promener toute nue sous son pull ! CERTES. Mais voici 10 commandements à suivre pour ne pas vous fâcher avec la mouvance du free the nipple (« Libérer le téton »)
Pas besoin d’avoir déjà voulu jouer les Ursula Andress pour savoir qu’à la ville, un tee-shirt blanc sans rien dessous pose aussi le problème épineux de la transparence. Alors évitons la catastrophe !
PS : privilégier le t-shirt blanc à logo ou inscriptions.
Eh oui, vaut mieux suivre les conseils de Victoria Beckham que ceux de Christina Aguilera dont le décolleté laissé apparaître le nombril dans les années 2000. L’ex-Spice Girl a renoncé au push-up bombesque et affirme aujourd’hui qu’un joli décolleté ne doit dévoiler que la naissance des clavicules.
La mission numéro 1 d’un bon soutien-gorge : le maintien. Et qui dit absence de soutien-gorge dit… sprint effréné fortement déconseillé. Pensez-vous sérieusement que les athlètes des JO de Rio oublient leur brassière de sport pendant les entraînements ?
Même à Cancún pendant le Spring Break la tendance du tee-shirt mouillé est en passe de devenir ringarde. Donc le remake sous une averse, sans mojito ni quarterback en goguette, c’est pareil : de mauvais goût.
Avec la clim’ qui tourne à fond au bureau, difficile d’assumer sa poitrine, soudain au garde-à-vous et donc visible sous un top qui en dévoile trop.
Avec un tee-shirt sans soutien-gorge, le pantalon ample sera plus chic que le micro-short.
Parisienne avant tout ! Un look saut du lit désinvolte et chic à la fois plutôt qu’une tenue de réveillon, voilà l’équation mode à avoir en tête avant de se lancer dans le « braless ». Visualisez Jane Birkin au marché et Brigitte Bardot à la Madrague plutôt que Lindsay Lohan sur tapis rouge ou Miley Cyrus qui en fait trop.
Vaut adopter une posture de danseuse classique et se tenir droite lorsqu’on ne porte rien sous son tee-shirt.
Trop jeune pour avoir fait Woodstock, pas assez de miles pour aller à Coachella : il suffit quelque fois d’un simple geste libérateur, celui de ne pas porter de soutien-gorge, pour revivre à son échelle une expérience libératrice proche d’un concert de Jim Morrison.
Si votre poitrine en a assez de ce trop-plein de liberté, rien ne vous empêche de finalement faire marche arrière.